- EAN13
- 9791030212099
- Éditeur
- Fauves Editions
- Date de publication
- 31/08/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Fauves Editions 24,00
De sa traversée théâtrale, jupitérienne, de la cour du Louvre le 7 mai, à sa
volonté de réunir droite et gauche, en passant par la phrase, « c'est moi le
chef », lancée au général de Villiers et sa colère contre le gouvernement
après la baisse de l' APL, Gilles Gaetner, tel un scribe méticuleux, a noté et
analysé, pendant 100 jours, les décisions prises par Emmanuel Macron. Il a
scruté ses faux pas et recensé ses réussites. Aujourd'hui, Emmanuel Macron est
en berne dans les sondages ; ses projets, notamment la réforme du Code du
travail ou la refonte de l'assurance chômage ne suscitent guère l'enthousiasme
des syndicats. Pourtant, le nouveau président a réussi le dépoussiérage de la
vie politique. De nouvelles têtes sont apparues. Ejectés, les élus accrochés à
leur fauteuil, ne pensant qu'à leur réélection ! Macron ? On le croit
Chérubin. C'est un bulldozer. Sans état d'âme. Doit-il craindre une rentrée
sociale « chaude » comme le lui promet Jean-Luc Mélenchon ? D'où cette
question capitale : le credo, « et à droite et à gauche », ADN de l'idéologie
macronienne, inspirée par le général de Gaulle en 1945 et 1958, reprise par
Rocard en 1988, puis par Sarkozy en 2007, résistera-t-il aux bourrasques
éventuelles ou, au contraire, volera-t-il en éclats ?
volonté de réunir droite et gauche, en passant par la phrase, « c'est moi le
chef », lancée au général de Villiers et sa colère contre le gouvernement
après la baisse de l' APL, Gilles Gaetner, tel un scribe méticuleux, a noté et
analysé, pendant 100 jours, les décisions prises par Emmanuel Macron. Il a
scruté ses faux pas et recensé ses réussites. Aujourd'hui, Emmanuel Macron est
en berne dans les sondages ; ses projets, notamment la réforme du Code du
travail ou la refonte de l'assurance chômage ne suscitent guère l'enthousiasme
des syndicats. Pourtant, le nouveau président a réussi le dépoussiérage de la
vie politique. De nouvelles têtes sont apparues. Ejectés, les élus accrochés à
leur fauteuil, ne pensant qu'à leur réélection ! Macron ? On le croit
Chérubin. C'est un bulldozer. Sans état d'âme. Doit-il craindre une rentrée
sociale « chaude » comme le lui promet Jean-Luc Mélenchon ? D'où cette
question capitale : le credo, « et à droite et à gauche », ADN de l'idéologie
macronienne, inspirée par le général de Gaulle en 1945 et 1958, reprise par
Rocard en 1988, puis par Sarkozy en 2007, résistera-t-il aux bourrasques
éventuelles ou, au contraire, volera-t-il en éclats ?
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